<?php echo do_shortcode(‘
‘); ?>]À la date du 03/12/2021 je me trouve incarcéré à la prison de Borgo qui se trouve en Corse
je suis en prison pour détention de drogue et une arme , ils ont trouvé à la maison 70 gr de drogues dures, trois grammes de cannabis, plus une arme du calibre 6,35, je suis coupable de plus d’avoir consommé la drogue.
Offres ou sessions de stupéfiants.
Seul ou en groupe aussi on faisait la fête !
Au tribunal de Bastia je suis coupable d’offres ou sessions de stupéfiants, et pour l’arme trouver chez moi.
Le verdict est de neuf mois de prison ferme et neuf mois de sursis.
À la date du 06/12/2021.
Me voilà condamné est retour à la prison .
Dès les premiers jours, j’ai parlé au service médical de mes problèmes de santé.
Je me trouve handicapé moteur depuis l’âge de 33 ans et à ce jour j’ai l’âge de 53 ans.
J’ai une maladie rare qui se nomme le syndrome de la queue de cheval suite à un incident.
Je n’arrive plus à me retenir pour uriner et ça peut sortir à tout moment, comme la caca peut arriver aussi.
Le plus grave se trouve au niveau lombaire, dans la colonne vertébrale ou j’ai des broches qui me font tenir debout.
Et bien sûr je me sonde les testicules, afin d’uriner.
Je suis reconnu à plus de 80 % invalides en la vie, je suis pensionné par la Cotorep.
Merci les impôts !
Je suis coupable de délit donc emprisonné pour la justice et c’est raison, que j’assume.
Comme on dit la justice a toujours raison.
Je me retrouve à la prison dans une cellule non handicapée, car il n’y en a pas à la prison de Borgo en Corse, donc elle n’est pas adaptée pour un prisonnier handicapé moteur.
Seul en cellule avec m’est problèmes de santé, même pas une semaine que je suis incarcéré en prison, et la le surveillant vient me dire que je vais être doublé en cellule avec un détenu.
On m’avait dit que c’était provisoire, mais ça a duré deux mois, avant que je me retrouve seul en cellule.
À la fin décembre 2021 .
Encore de plus en plus mal au dos de jour en jour, je demande toujours par écrit un deuxième matelas, de multitudes lettres sans réponse toujours.
Un jour je demande au surveillant pourquoi on ne me répondait pas à mes lettres, il me dit pour avoir quelque chose ici ou comme dans une autre prison, il faut un nom connu .
Une idée me vient, ils veulent un nom connu sans arrière-pensée et de plus que je ne suis pas nationaliste, j’ai écrit ce qui est vrai.
En gros j’ai dit, si pour avoir un deuxième matelas il faut un nom connu, mon vrai nom est Yvan Barbaggi et mon ancêtre se trouve dans l’arbre généalogique de Monsieur Pascal Paoli, le père de la nation corse.
(L’histoire pour mon vrai nom, ce sont deux frères au nom de Barbaggi il y a X temps dans l’administration d’une mairie en corse.
Ils ont fait une erreur dans le nom et ils ont rajouté à un des deux frères la lettre o qui fait Barbaggio .)
Les jours passent suite rendez-vous pour discuter d’emploi et formation, étant reconnue inapte au travail par la COTOREP,
j’aurai aimé une formation d’informatique.
Le capitaine du travail Monsieur à la peau mate, pour pas dire le nom,
Monsieur me dit avec un grand sourire vous avait un accent qui vient de Marseille,
je réponds non je suis corse mon nom est Barbaggio comme le village, j’ai dit ça instinctivement.
(Pour information, il y a un village qui porte mon nom identitaire finissent en O.)
Les jours suivants toujours aller retour très très souvent de la cellule à l’infirmerie,
un jour je vois encore le capitaine du travail, je lui dis regarder capitaine je suis handicapé à plus de 80 % au dos j’ai des broches
j’ai vraiment mal Monsieur je demande un deuxième matelas on ignore ma demande,
et là il me répond on vous a commandé un matelas spécifique pour votre dos.
OK merci alors j’attends.
J’ai signé vers le 15 décembre 2021 la date de ma sortie de prison prévue le 7 juin 2022.
Les jours passent et toujours pas de matelas, j’avais très mal et il m’arrivait de me vider bref une histoire de merde.
J’étais toujours en ce temps-là doublé en cellule.
Un jour je décide d’écrire au défenseur des droits.
Toujours comme souvent à l’infirmerie, je luis dis au Docteur Jean François DE BERNARDI,
je n’en peux plus j’ai du mal à me sonder
je suis toujours doublé et j’aimerais avoir une cellule seule
et comme on m’avait promis un matelas spécifique.
Il me dit revenait demain je vais monter voir la direction et demander le matelas et la cellule seule pour vous.
Le lendemain il me dit la direction a dit non pour le matelas spécifique, mais oui pour que vous avez une cellule seule.
Je suis toujours à l’infirmerie, je suis debout sur mes béquilles que je frappe fort à terre,
tout en hurlant ils veulent quoi la direction , que je rampe à terre et vous pouvez leur dire que demain je vais voir les défenseurs des droits , et que je vais porter plainte.
La le docteur part en courant et 2 mètres plus loin il revient et me demande c’est quoi déjà votre nom et là encore je réponds mon nom Barbaggio comme le village.
(Quoi penser il a parlé pour moi à la direction, il me demande plusieurs fois mon nom. Sacré Docteur !)
.
Le lendemain où je devais avoir le rendez-vous avec le défenseur des droits,
l’unité sept ou je me trouvais est fermé pour cause de covid , à mes souvenirs les autres unités étaient ouverts, le lendemain c’est fini porte ouverte.
Je suis dans l’unité toujours doublée en cellule, j’attends depuis au moins 10 jours la cellule seule que l’on m’avait promis.
Au tout début de mon incarcération, quand je discutais avec certains détenus et que je racontée que je n’arrêtais pas d’écrire des lettres à tout le monde, au capitaine et à la direction , au greffe, infirmerie, et même au social, avec mes lettres je demande à tout le monde qu’on prête attention à ma santé.
Et la un détenu me dit et me raconte que il faut être bien avec la capitaine Nadège,
qui est très dur c’est elle qui décide et commande.
Je réponds je ne la connais même pas, sauf par écrit beaucoup de lettres sans une réponse
où je demande un deuxième matelas et même ma montre où j’ai fini par lui dire
je ne vous demande même plus l’heure.
Donc toujours dans l’ignorance fin janvier 2022 je pense a midi,
je reste sur ma chaise et bloque tout en refusant de regagner ma cellule.
Et la le surveillant qui finissait de fermer les portes, arrive près de moi en me regardant
et tout en fermant une porte, il me dit tu n’avait pas demandé une cellule seule, tu pourrais avoir la cellule.
Tu es sûr de toi tu veux vraiment bloquer, comme si il m’avertissait et là j’ai compris qu’il parlait de la capitaine Nadège.
Et la je réponds dis moi c’est toi qui vas venir me sonder les C…… testicules,
je suis malade tu comprends, fait ton travail.
Il s’en va et revient deux minutes plus tard et j’entends beaucoup de clés ,
(Oui c’était les surveillants portes clefs comme chacun a sa croix LOL)
la je vois bondir des escaliers un surveillant un homme je pensais
non c’est une femme la capitaine Nadège, elle crie fort qui c’est celui-là,
derrière elle arrive quatre hommes surveillant, d’où son ex-mari a Nadège qui se prénomme David,
je réponds à la capitaine je suis personne, mais je suis handicapé j’ai mal au dos aux jambes et pour me sonder j’y vois mal d’un œil.
La les surveillants qui sont autour de moi qui suis sur la chaise,
je lui dis j’ai trop mal pour bouger trop mal à ma jambe droite, et la le surveillant David me dit accroche-toi à moi, je dis non je n’arrive pas à me lever, et la ils m’ont tiré sur ma chaise jusqu’à atteindre ma cellule.
Quand il ferme la porte, je dis merci.
À ce moment-là je ne sais pas pourquoi instinctivement j’ai pris une feuille et j’ai écrit grève de la faim
À 13 heures le surveillant ouvre et il voit écrit grève de la faim, je vois que ces Philippe un surveillant qui est attentionné.
Il me dit pense que si tu fais la grève de la faim ta santé ne pourras que s’empirer, regarde ils m’ont dit que tu pouvais prendre la cellule 701 et tu es seul, il m’a résonné et j’ai dit OK.
Enfin une cellule seule début février, avec mes handicaps j’étais seul dans mon intimité et dans ma caca , j’étais mieux en solitaire.
Ma santé empire au lieu de me vider le contraire je suis constipé
,entre deux sacrés docteurs j’ai fait un roman pour tous les mal que j’avais et j’ai.
J’ai besoin de soins Docteur OK on va vous faire passer un scanner en urgence me dit le Docteur Jean François DE BERNARDI.
Les jours passent de plus en plus mal, pour les soins on me donne du paracétamol, les béquilles et une ceinture lombaire.
Toujours au mois de février je prends une feuille et tout en écrivant je fais la grève de la faim
mais cette fois je demande à aller dans une prison hôpital.
Le lendemain tout le monde veut me voir, la capitaine Nadège je refuse, le social aussi je refuse, et à l’infirmerie je suis trop fatigué et je demande qu’elle vienne me voir la Docteur Dr. Laurence Leonelli mondoloni .
La Docteur se déplace malgré c’est 100 kg à vue d’œil et 1,50 m je l’entends arriver très essouffler elle arrive et tout en me prenant la tension elle commence à me dire Monsieur Barbaggio je vois que ça ne va pas vous voulait voir un psychiatre.
je lui réponds je n’en ai pas besoin, je sais le pourquoi du comment j’ai mal au dos.
Elle me dit vous voulait de la méthadone.
Non merci j’ai décroché.
Docteur je désirerais aller dans une prison hôpital.
Monsieur vous êtes obstinés et vous allez dans une voie sans issue droit au mur,
pour aller dans une hôpital prison on doit vous opérer, vous avez une sciatique !
(Info toujours bien sûre en attente d’un scanner promis)
Les jours suivants je suis demandé par le ou la capitaine, je sais pas qui c’est, je dis OK
et je vais voir et quand j’arrive je vois un homme le capitaine que je n’avais jamais vue,
il était assis et dessus son bureau il y avait beaucoup de lettres, c’était celle que j’avais écrit,
il me dit je vous ai lu mais au juste vous revendiquez quoi.
J’ai dit je voudrais aller si possible dans une prison hôpital
je n’en peux plus j’ai trop mal je suis handicapé moteur ici on croit que je simule
peut-être que le début je suis rentré ici sur mes deux jambes, j’ai commencé à faire du vélo, mais j’ai très mal au dos.
Il me répond je vous comprends je sais qu’il y a des handicapés ou le handicap ne se voit pas c’est tout à l’intérieur, ma femme est une infirmière.
J’envoie tout de suite un émail à la direction.
Le 15e jour de ma grève de la faim, le défenseur des droits vient me voir
je lui raconte l’histoire en gros et lui demande qui parle pour me faire faire un scanner
et pour aller dans une hôpital prison.
Il me dit je fais de mon mieux et mon possible je vous promets rien.
Quand je reviens du parloir je vois un surveillant et lui dit j’arrête la grève de la faim.
Le lendemain on me dit tu va être extrait médical tu vas faire un scanner
tu vas monter à l’hôpital de Bastia, mais avant tu dois faire un test de dépistage pour le Covid
.
L’après-midi ils arrivent et me disent tu aient positifs aux Covid et il m’enferme en cellule.
J’étais le seul à avoir le Covid dans toutes l’unité me voilà enfermé pendant 10 jours
suite je suis sorti ils n’ont testé personne et encore moins moi.
Suite arrive fin février une lettre qui disait que je devais passer en appel au tribunal de Bastia
le procureur avait fait appel à ma condamnation.
J’ai reçu cette lettre du procureur trois mois après mon incarcération faute de Covid à ce que l’on m’a dit.
Donc de condamner je redeviens prévenu.
Le 6 avril 2022 je suis condamné à 18 mois fermes de prison et six mois de sursis .
je dis Madame la juge OK pour ma liberté mais ma santé on me promet un scanner en urgence
ça fait beaucoup de temps que l’on me dit ceci.
Elle me répond il y a le service médical pour cela.
Je luis dis mais le service médical n’est pas compétent.
Comme par chance
Le lendemain le 7 avril 2022 enfin je monte passer ce sacré scanner.
Le résultat sans être médecin j’ai lu l’arthrose dans plusieurs niveaux jusqu’aux cinq.
Je demande au Docteur il y a quoi pour soigner l’arthrose .
Elle me répond la rééducation et des infiltrations mais vous en avez tellement d’arthrose que ici à la prison je ne peux pas faire ces soins.
J’ai dit alors monter moi à l’hôpital à Bastia.
Je demande des médicaments plus forts, on me donne du paracétamol poudre d’opium ça me soulage et me fait tenir debout toujours avec une béquille pour ma jambe droite.
Dans le mois de juin un soir je tombe je me suis évanoui, je reviens à moi et je suis à terre avec une béquille j’arrive à appuyer sur le bouton urgence suite j’entends les clés ,
je crie et frappe à la porte et la le surveillant appelle le chef qui a la clé et il ouvre la porte je suis à terre il appelle les pompiers .
(imaginez tous les surveillant qui portes les clefs que l’on doit prévenir, pour enfin ouvrir la porte au secours !)
Je suis au milieu de la cellule, ils me disent tu ne va pas rester au milieu,
je suis à terre et ils me prennent par les épaules et par les bras j’avais mal mais tant bien que mal ils arrivent à me poser sur le lit.
Les pompiers arrivent il me demande ce que il m’es arrivé, j’ai dit que je me souviens même plus j’étais debout suite plus rien je me suis retrouvé à terre.
il me demande si je prends des médicaments, je réponds que je prends de l’opium paracétamol .
il me demande si j’avais regagné par moi-même le lit.
j’ai dit non c’est les surveillants qui m’ont posé sur le lit.
À ce moment-là le pompier dit aux surveillants il ne fallait pas le toucher
le chef répond on savait pas.
,
J’arrive à l’hôpital avec deux surveillants après deux bouteilles de morphine je suis endormi,
le docteur de l’urgence a dit que j’avais rien ce soir-là
sur les deux surveillants qui étaient avec moi un qui se prénomme Youssef
me dit aller en doit rentrer en prison il est déjà deux heures du matin,
je réponds j’ai trop mal au dos pour bouger, il me répond écoute j’ai été cool avec toi..
on doit rentrer en prison.
Le lendemain je me disais ce type je l’ai déjà vu quelque part, et la ma mémoire me revient et quand je le vois, je lui dis tu te souviens plus un jour tu étais en discothèque à Bastia
le patron que je connais, m’avait demandé de faire la sécurité lui n’était pas là le soir,
et au comptoir se trouvait un nationaliste au tempérament chaud on pourrait dire ainsi
et il était avec une femme peut-être sa femme qui allait dansé seul sur la piste
ou toi tu dansais aussi et tu t’es collé à elle.
cet homme qui était avec elle a vu que tu te collais à sa femme et il est venu te voir la dispute a commencé
j’ai vu ça et je suis venu pour vous calmer et quand je t’ai posé la main sur l’épaule
tu m’as fait une clef un mouvement arts martiaux, dis-moi tu fais des arts martiaux .
(sacrée Youssef porte clef ils maîtrise tout les clefs en mouvement arts martiaux)
Il me répond oui à l’époque du karaté.
Moi alors tu te souviens ça fais plus de 20 ans
Il me dit j’ai tellement eu de problèmes en discothèque non je ne m’en souviens pas.
J’ai répondu en tout cas ce soir-là il avait un 11,43 et malgré que c’est pas un ami mais une connaissance, il m’a dit je ne lui fais pas de mal pour toi.
Les jours suivants l’histoire de simulation grandit car depuis le début je me doute que il pense que je simule Youssef …
je demande à aller voir le docteur du cerveau comme j’ai écrit.
Et le jour où je vois le psychiatre
il me demande ce que j’ai
je réponds vous n’avez qu’à regarder les résultats de mon scanner,
il regarde et me répond il me faudrait un autre scanner pour comparer si c’est avant ou après de rentrer en prison tout ce que vous avez est arrivé.
Je lui dis peu importe si c’est avant ou après j’ai mal à ce jour.
Il me demande si j’ai besoin de médicaments.
J’ai répondu j’ai besoin de parler de cette histoire de fous.
Il me dit je prends rendez-vous pour la psychologue.
Au mois de juillet je dois passer pour la libération avec le bracelet électronique.
Je vois le docteur Jean François DE BERNARDI et lui dit vous aller parler de ma santé docteur il me répond il ne m’écoute pas Monsieur Barbaggio.
En juillet la juge me donne une réponse positif pour ma sortie avec un bracelet électronique à la date 15 septembre.
Le 17 août ma pauvre mère décède subitement.
Il me donne une permission de trois jours, merci la direction.
Début septembre je vois le docteur DE BERNARDI, je lui demande d’aller voir le docteur à l’hôpital d’où il avait pris rendez-vous depuis avril.
Il me répond le plan hôpital ça ne marche plus.
Je me suis énervé et il a vu et je lui dis tu as dit quoi, alors je monte quand l’hôpital
il me dit les jours qui viennent
j’ai dit regarde je sors le 15 septembre.
Le lendemain je suis extrait et me voilà arrivé à l’hôpital de Bastia, dans le bureau du Docteur avec les deux surveillants et le docteur se met à lire la lettre de la prison .
Du docteur DE BERNARDI il avait écrit cette lettre et après lecture.
Le docteur de l’hôpital me dit ça fait 30 ans que vous avez cette maladie.
J’ai répondu non plus de 20 ans, écouter j’ai passé un scanner en avril regarder le résultat.
le docteur regard dans l’ordinateur et trouve mon dossier et l’imagerie de mon scanner
et il me montre un gros trou noir dans la colonne vertébrale arthrose,
il montre aussi un petit os sorti de ma colonne
et enfin les broches et il me dit que les broches ont bougé
Un des deux surveillants regard avec moi le résultat de mon scanner dans l’ordinateur.
Le docteur me dit vous avez besoin d’une intervention chirurgicale mais avant on va essayer des soins ont va vous faire des infiltrations et on va approfondir avec IRM
je vous vois dans trois semaines puisque vous sortez de prison le 15 septembre.
Voilà l’ordonnance vous avez besoin d’une rééducation.
Un des deux surveillants qui regardaient avec moi l’ordinateur et l’imagerie du scanner, demande au Docteur combien dur une intervention en tout docteur.
Il me répond une semaine en tout.
Et en sortant le surveillant me dit je ne comprends pas pourquoi on vous envoie pas à l’hôpital prison de Marseille,
on envoie des personnes avec une main cassée pour opérer.
J’arrive dégoûter à la prison on est le 8 septembre, et là je stoppe le paracétamol poudre opium.
Le 15 septembre le jour de ma sortie sous bracelet, j’étais bloqué du dos
les surveillants ont dit et voulu me prendre par force et m’installer sur le fauteuil roulant,
j’ai refusé et averti qui devais prendre leurs responsabilités et qu’il n’était pas docteur.
La direction a refusé pour appeler les pompiers, et les capitaines m’ont fait signé un papier où il était écrit que c’était impossible que je bouge,
je refuse ma sortie , en croire la suite.
Mais la juge a mis en suspension et demande à me voir à la fin septembre.
Le 16 septembre le matin la surveillante ouvre la port je ne suis pas bien réveiller ,
allongé sur le ventre et je me tourne pour parler et je me retrouve à terre,
la surveillante entend le choc et me dit vous voulez que j’appelle les pompiers, je dis oui.
Et à ce moment-là arrive une chef une jeune fille une grande assez belle-fille
belle brune dominatrice en ses dires, et me dit tu es content tu as eu ton extraction médicale.
Les pompiers me sortent sur le brancard et je pointe mon doigt vers la chef
et lui dit tu penses que je simule toi.
J’arrive à l’hôpital avec deux surveillants sympas un homme et une jeune chef encore à l’école pénitentiaire à ce que l’on m’a dit.
En attendant le docteur qui était occupé, on a échangé des mots avec la jeune chef,
je lui dis tu as vu ta copine pense que je simule, elle me répond qu’elle copine,
moi oui la grande femme une brune , je pense qu’elle a un grade plus haut que toi une chef je pense.
Elle me dit ah oui je vois de qui tu parles non c’est moi qui suis plus gradée que elle.
Moi ta copine pense que je simule.
Tout d’un coup elle me demande directement vous êtes nationalistes.
J’ai souri et lui ai dit vous m’avez pris pour le pauvre Yvan Colonna ou quoi.
Et à ce moment-là je pense à cette lettre, et lui dit alors la lettre que j’ai écrite à la capitaine Nadège
que je lui parlais que mon nom était dans l’arbre généalogique de Pascal Paoli, c’est pour ça alors que tu m’as demandé si je suis nationaliste.
Elle me demande et dit tu n’aime pas Nadège
j’ai répondu quand je suis arrivé voir le capitaine homme, il y avait toutes les lettres que j’avais écrit elles étaient toutes bloquées dans le bureau donc elle faisait pas son travail.
Le docteur arrive il comprend pas et me dit vous devait pas sortir de prison, j’ai dit oui mais je suis bloqué hier ils n’ont pas voulu appeler les pompiers.
Le docteur de l’hôpital finit par me faire une lettre comme quoi je devais aller à Marseille
à l’hôpital prison.
De retour en prison, donc je reprends mon traitement paracétamol opium fin septembre .
je vois en vidéoconférence Madame la juge •.
Elle me demande pourquoi j’ai refusé de sortir de prison.
J’ai répondu je ne pouvais plus bouger.
Elle me dit vous n’avez qu’à faire appeler les pompiers.
j’ai répondu ils n’ont pas voulu appeler les pompiers.
Madame la juge à ce jour je vais mieux j’ai repris l’opium.
Elle me répond pourquoi vous avez arrêté votre traitement.
Oui madame quand j’ai vu le résultat de mon scanner il y avait un gros trou noir et un os sorti de la colonne vertébrale, les broches qui ont bougé aussi, alors j’étais énervé et les médicaments j’ai dit stop.
Le procureur a déclaré que je n’étais pas conforme à sortir avec un bracelet électronique.
Quelques jours plus tard j’ai reçu une lettre comme quoi c’était refusé ma sortie de prison avec le bracelet électronique.
Et j’ai fait appel à cette décision.
Un jour le matin vers 7h30 un surveillant porte-clés corse
il me dit Barbaggio tu es libérable.
Je lui réponds je pense pas tu ai sûr de toi,
oui tu veux toujours sortir avec le bracelet c’est bien ça.
Je lui réponds va bien te renseigner
il me dit OK je vais regarder.
Moi je vais dans la cellule d’un pote lui dire ce qu’on vient de me dire que j’étais libérable.
Suite le surveillant revient et me confirme oui tu est libérable prépares tes affaires.
J’ai vu la chef la grande brune qui était aux commandes de l’unité,
celle qui m’avait dit tu est content tu as eu ton extraction médicale ,
elle était dans l’unité mais je lui ai rien demandé
c’était en fin d’après-midi, j’ai bien compris que c’était une blague.
(Oui des surveillants blagueurs, comme j’ai crié fort, les porte-clés vous êtes des blagueurs.)
Les jours suivants je demande alors je vais quand à l’hôpital prison à Marseille.
La docteure me répond j’ai fait les papiers mais il faut voir au-dessus de moi si veulent bien t’envoyer.
Au mois de novembre il y a une descente à la prison est une fouille par les unités spéciales surveillant de prison..
Ils ont trouvé du haschisch et autre produits illégal.
Les jours suivants on me dit que la directrice lundi va faire la surveillante.
Je pensais que la personne qui m’avait dit ça rigolait.
Et le lundi venu j’entends ouvrir les portes et parler à haute voix,
et quand ça arrive à moi la porte s’ouvre et je vois une femme assez jeune et je parle vous êtes nouvelle surveillante Madame .
Elle me répond non je suis la directrice.
je luis dis ça tombe bien je suis malade je pourrais vous parler
elle répond je suis la jusqu’à 16 heures donc après.
Franchement je n’avais jamais vu une surveillante ou un surveillant bouger comme Madame la directrice,( bon 1 jours en 1 jours on peut travailler a fond) Madame parler avec tout le monde et même a-t-elle dit a un prisonnier vous pouvait m’appeler Julie.
En fin de matinée Madame me fait rentrer dans son bureau et me demande mon nom et là je ne sais pas pourquoi encore, je lui ai dit mon nom est Barbaggio comme le village.
Elle répond je connais ce village il est beau, mais j’ai eu des ennuis à ce village.
(sûr toutes les personnes que j aimes malheur si je ment, la directrice ma répondu avoir des ennuis a ce village que je cités a chaque fois que l’on me demandait mon nom)
Je luis demande vous avait combien d’handicapés moteurs dans la prison à part moi.
Elle répond normalement je ne prends pas handicapés moteurs à la prison c’est la direction qui a fait l’erreur .
Je lui dis écouter à l’hôpital de Bastia le docteur m’a montré sur l’ordinateur l’imagerie de mon scanner, il y avait sur ma colonne vertébrale petite os qui sortait, et les broches qui ont bougé et aussi un gros trou noir du à l’arthrose.
Le docteur m’a dit que je nécessitai intervention chirurgicale, mais il veut essayer des soins avant comme des infiltrations et une rééducation.
Madame la directrice me conseille vous devait aller à Marseille à l’hôpital.
Je lui réponds que depuis le mois de janvier je demandais à aller à une hôpital prison.
Elle me demande ce que pensaient les docteurs et ce qui disait sur mon état de santé.
Je réponds que le docteur a dit que ça faisait 30 ans que j’étais malade.
Et la docteure Madame Laurence a dit que en prison elle ne pouvait pas me faire des infiltrations tellement que j’avais l’arthrose.
J’ai demandé à monter à l’hôpital de Bastia.
La directrice me dit en tout cas le jour où vous sortez de prison aller à l’hôpital de Marseille plutôt qu’à Bastia.
Elle rajoute vous sortait bientôt de prison.
Je réponds le 22 janvier on était au mois de novembre je pense.
Dans l’après-midi je la vois, et lui dit regarder Julie malgré que vous n’êtes pas docteurs lisez l’ordonnance de ma rééducation et les soins que j’ai.
Elle répond oui effectivement pas besoin d’être docteure je comprends en lisant.
Le lendemain le défenseur des droits vient me voir pour la troisième fois.
Donc le défenseur des droits me demande comment ça va Monsieur.
J’ai répondu que ça allait de pire en pire la santé, vraiment mal et que le docteur de l’hôpital de Bastia a donné l’ordonnance pour que l’on puisse m’envoyer à l’hôpital prison de Marseille mais j’attends toujours.
Comme mon I.R.M. que je devais passer depuis septembre, qu’il est écrit sur ordonnance faite par le Docteur hôpital de Bastia.
J’ai dit ma sœur vous a contacté et vous lui avez dit de contacter la MDPH de Bastia, c’est ce qu’elle a fait, et on lui a demandé si j’avais une cellule de prison adaptée pour mon handicap.
Elle a répondu non.
Et la dame a dit je vais téléphoner à la prison.
Et le défenseur des droits me demande alors ils ont dit quoi.
J’ai répondu que la prison a répondu que je devais sortir bientôt de prison c’était le 15 octobre je pense, et la dame a dit d’accord alors on attend.
Quand il sort de prison il sera pris en charge ils ont répondu ça à ma sœur la MDPH.
Le défenseur des droits était contrarié je le voyais à son visage.
je lui dis au Monsieur c’est vraiment un film que je vis c’est quoi ces docteurs…
Je l’ai remercié et dit qu’ils étaient au top les défenseur des droits
je lui demande aussi Monsieur, qui c’est qui paye mes soins qui c’est qui paye la Cotorep s’est bien vous qui travaillez, comme mon père à la retraite qui a payé à vie les impôts.
Il me répond oui c’est bien nous.
Alors qu’ils arrêtent de se voler à eux même en me refusant le droit aux soins.
Le lendemain je monte à l’hôpital de Bastia pour passer mon I.R.M. à ce jour du 15 décembre 2022 je prends des médicaments stupéfiants de morphine.
Ma sortie de prison est prévue le 8 janvier 2023, la direction et juge m’ont donné 14 jours de remises de peine, car j’ai payé l’amende et de plus pour mon investissement aux soins.
Merci
l’erreur est humaine !
Je suis sorti de prison le 7 janvier 2023.
En lisant les PV pour les accusations que je n’avais jamais lues,
il y a avait que une déclaration qui m’accusait
ou cette personne a dit que pendant un an je lui ai vendu des plaquettes de méthadone.
Que ce soit au commissariat de Bastia que ce soit mon avocat que ce soit le procureur ou juge, que ce soit la première fois que je suis passé au tribunal où j’étais condamné,
ou la deuxième fois que je suis passé au tribunal en appel.
Je n’ai jamais su vu ou entendu ces accusations de Monsieur V B.
Comment me défendre si j’ignorais l’accusation la réelle accusation.
Un jour de fin février 2023 je me trouvais assis sur un banc près du palais de justice à Bastia ,
et j’ai vu décembre le procureur qui avait dit que je n’étais pas compatible pour une sortie avec le bracelet électronique.
Il ne m’a pas reconnu ,et juste au moment il passe devant moi, je lui demande monsieur excusais-moi ce serait pour un renseignement, je sais que vous travaillez dans la justice , voilà j’étais incarcéré à la prison de borgo pendant un an et à ma sortie de prison
j’ai lu le PV d’une accusation ,une personne qui disait que je luis vendais de la méthadone et cette accusation ni mon avocat ni le procureur ni le juge a parlé de cette accusation
et j’ai lu Monsieur sur Internet que le procureur est obligé de dire à l’accusé les mises en cause.
Il me répond bien sûr que ce n’est pas normal, mais maintenant il est trop tard au revoir Monsieur .
À ce jour du 25 février je suis toujours encore en Corse et j’ai des problèmes pour me soigné.
Ma conclusion de mon histoire.
Au commissariat de Bastia, je leur ai dit que j’étais handicapé et je me suis plaint pour ma santé, mais à la fin de la garde à vue, il pensait que je simulais , comme ils ont dit à mon avocat, qui a confirmé elle aussi dans son rapport que j’ai lue a ma sortie de prison, ma sacrée avocate, qui m’a fait passer au tribunal deux jours après ma sortie de garde à vue, mon avocate m’a dit je connais le commissaire des stupéfiants, je vais demander que tu comparaisses directement, avec le recul j’ai compris pourquoi elle insistait pour que je passe de suite au tribunal.
Au tribunal la procureur a dit que je simulais, donc c’est le compte rendu de ma garde à vue simulation.
Donc j’arrive à la prison avec un dossier de simulation je pense fort.
À mon arrivée en prison je marchais et j’ai commencé à faire du vélo tout allait bien, donc certains surveillants ne pouvaient que dire dans le rapport que j’allais bien, même si j’avais mal au dos après deux semaines de mon incarcération.
À cette époque la capitaine chef en place était Nadège, avec son équipe car même en prison il y a des équipes de surveillants.
La capitaine Nadège pour moi à garder les lettres que j’envoyais à la directrice.
Qui a dit non pour le matelas spécifique ?
Ce sacré matelas spécifique pourquoi le capitaine m’a promis ce matelas ?
Un surveillant m’a dit qu’il y avait pas de matelas que même dans d’autres prison elle n’a jamais vu ça où il y avait des handicapés avec des matelas spécifiques.
Un autre surveillant me dit qu’il y a toute une pièce entière de matelas spécifiques et même les oreillers, j’en ai douté.
Jusqu’au jour au mois de décembre, où ils ont affiché une feuille avec toutes les produits du matelas normal à celui spécifique, et il y avait le prix des produits, de plus si on les dégradait.
J’avais même dit un jour au Docteur de monter à côté de l’hôpital à Bastia, il y a un magasin des produits médicales, je le paie moi ce matelas !
Dans ma vie, ça m’est déjà arrivé de dire à des personnes qui me demandaient mon nom, je disais mon nom tout en ajoutant comme le village.
Ici mon nom comme le village, j’ai peut-être eu une autre intonation dans ma voix, peut-être qu’il ont vu comme un avertissement, une menace, de plus avec cette lettre que j’ai envoyée à la capitaine Nadège, qui parlait de mon ancêtre de l’arbre généalogique de Pascal Paoli.
J’ai pensé à cette lettre, car je n’ai rien fait de mal, pour cette ignorance totale !
Pourquoi la jeune chef surveillante m’a demandé si j’étais nationaliste, quand j’étais à l’hôpital ?
J’ai dit aussi à ce surveillant porte-clés de Youssef, tu avais dragué la femme d’un nationaliste, et c’est pour moi qui ne t’a pas fait de mal.
Lui qui m’a dit à l’hôpital, je suis cool alors on rentre à la prison, sacrée Youssef.
Lui qui m’a dit un jour, moi je me trouvais allongé ne pouvant pas bouger, après la fermeture des portes il est venu me surveiller sûrement pour voir si je bouger du lit et si je simulé, comme l’œilleton de la porte était bouché avec du papier, il ne pouvait plus voir, donc il me demande d’enlever ce qu’il y a sur l’œilleton.
J’ai répondu que je ne pouvais plus bouger et qu’il enlève lui.
Il me répond sèchement tu verra la prochaine fois que tu tombes malade.
Un jour il vient fermer la porte et je lui dis dis moi, je peux te dire tu, vu que ici tout le monde se tutoie, c’est quoi ton prénom.
Il me répond Youssef
je lui dis que je suis vraiment malade et que j’ai vraiment mal.
Il me répond pour moi tu veux vraiment savoir, tu simules.
J’ai dit quand je vais au parloir voir ma fille, elle me voit sur mes deux béquilles et elle part en pleurs, ça c’est de la simulation.
Et tu n’as qu’à demander à deux potes à toi surveillant qui étais avec moi l’hôpital, et qui ont vu le scanner comme moi et entendu ce que disait le docteur, que j’ai nécessité une intervention chirurgicale.
Il me répond mal à l’aise, oui je viens de voir l’infirmière elle a dit que le docteur devait se bouger.
Oui l’infirmière venait de sortir de ma cellule.
Ce Youssef ce film cette histoire qui m’est arrivée, lui qui pensait que je simulais est vraiment un surveillant porte-clés.
Un jour ce Youssef, je l’ai entendu discuter avec un prisonnier, et le prisonnier lui demande alors depuis tout ce temps que tu es surveillant tu n’es pas monté de grade.
Il lui répond je ne veux pas de responsabilité, je suis bien comme ça.
Il a voulu jouer au docteur !
Pour cette histoire de simulation le scoop vient de lui aussi.
Les défenseurs du droit sont venus me voir trois fois, et à chaque fois il montait voir la direction, quand je discutais avec la directrice elle n’était pas au courant de mon état de santé, ce quelle me disait.
Elle m’a dit qu’elle connaissait ce beau village qui porte mon nom, ou elle a eu des ennuis.
Je ne sais pas si elle a dit ceci pour me retourner le cerveau, car à vrai dire si cela est vrai et que Madame la directrice a eu un ennui de plus que une roue de voiture crevée.
Si de crier mon nom est d’ajouter comme le village, si mon nom vous a fait rappelé des mauvais souvenirs, je ne suis d’une aucune cause.
Le film que j’ai vécu au Club Med de borgo.
J’ai vécu l’ignorance totale, comme l’espoir que l’on m’a fait croire, croire que l’on allait me prêter ses soins, de plus que l’attention pour mes handicapés.
La directrice a dit que j’étais le seul handicapés moteurs dans la prison, et qu’elle n’était pour rien, que l’erreur venait de la direction.
Je pense qu’elle parlait du tribunal, quoiqu’il en soit, l’erreur a duré plus d’un an.
L’erreur est humaine ok.
Comme la justice a toujours raison contre un délit, mais a-t-elle raison pour un prisonnier handicapé de lui enlever le droit de se soigner.
Ne faut pas mélanger la direction de la prison, du service médical, et quand le service médical parle et que la direction ignore, je ne vois pas comment trouver une solution pour le détenu emprisonné.
Je pense après ce que j’ai vécu, la direction même si ce n’est pas des blouses blanches, comme m’a dit certain chef.
Pour moi qui ne sais pas conjuguer, surtout entre être et avoir.
Le pourquoi du comment j’en suis arrivé là, pour ma santé empirer.
Du jour au lendemain la directrice a changé la capitaine Nadège, pour la direction des unités, elle s’est retrouvée à la sécurité.
Ce changement a eu lieu après trois mois je pense, quand j’ai fait la grève de la faim.
Peut-être que la direction, a vu vraiment que j’étais handicapé, et quand j’ai crié je vais vous porter plainte, pour moi la direction n’a pas voulu retourner en arrière,
comme pour m’envoyer dans un hôpital prison, elle est allée au devant..
Un direction pour en croire, qui est au courant de rien, alors les docteurs il racontait quoi sur ma santé, alors les défenseurs des droits disaient quoi sur ma santé.
Je dois savoir pourquoi on ne m’a pas donné les soins dont j’ai besoin.
Car ceci n’est pas juste pour moi ou l’on a fait cette erreur de diagnostic..
Pauvre handicapé dans les prisons de France on est vraiment pour certaines personnes des déchets de la société.
Les prisonniers normales aussi ont leur souffre-douleur.
Un jour en prison j’ai vu à la télé à France Info, que depuis 30 ans plus aucun investissement en soins n’avait été effectué dans les prisons de France,
Il faut que je sache la vérité, le pourquoi du comment on m’a ignoré pour ma santé.
Je ne pleurais pas pour sortir de prison, je pleurais pour la santé on pourrait dire ainsi.
Mon père a travaillé toute sa vie, et comme tous les Français qui travaillent et paient leurs impôts.
Grâce à vous depuis l’âge de 33 ans, chaque mois je touche une pension et plus une aide pour mon loyer.
Plus les sondes pour que j’urine qui sont chères c’est grâce à la Cotorep aux impôts du peuple français.
J’ai droits 100 % de soins pour ma maladie et handicap.
ils ont travaillé mon esprit pendant un an.
Je n’ai fait aucune activité, la seule activité a été d’écrire des lettres, qui restaient sans parole pour une seule réponse que j’espérais.
Comme un complot j’ai vu ça oui, quand j’ai écrit ces lettres en double pour moi j’étais dans un film.
Malgré que les autres prisonniers me disaient tu aient en prison ils vont pas te soigner,
je répondais ça va pas je suis pas comme vous, je suis handicapé et j’ai besoin de soins je suis dans mes droits !
Ils avaient et ont raison, comme la loi a raison et la raison pourquoi ils m’ont laissé dans mes douleurs.
Afin que je paie de ma santé cette peine.
Je sais que dans les prisons il y a des personnes en fauteuil roulant, ils doivent être à la merci d’une autre personne de la prison, exemple comme leur faire la toilette.
Mais j’espère que s’il y a un mal et une douleur on le soigne plus vite, ou une autre personne avec un handicap comme j’ai moi.
Simple prisonnier sans handicap, s’il est mal ou une douleur on doit le soigner et ne pas l’ignorer comme un numéro d’écrou qui n’a pas de noms connus !!
Chère personne de l’administration pénitentiaire, le prix de ce matelas spécifique qui m’a été refusé pour ma personne, est de 399 € je ne compte pas les centimes,
car je l’aurais payé moi avec la pension que vous me payez, avec cet argent de la Cotorep.
Si vous avez eu le prix en tête pour ma pénitence.
Vous avez gagné pour ma santé elle empirait.
Mais je reste dur comme fer, comme ce qui me font tenir debout.
Moi le prisonnier trafiquant qui n’est pas de dents, la prochaine fois avec l’argent de mon trafique, je penserai à me faire des implants.
Je cherche chercherais sûrement sans réponse, l’histoire qui m’est arrivée, car la justice a raison.
Comme l’argent dirige ce monde, si j’en avais en ce temps-là sûr que mon avocate d’office Mélanie JUNGINGER aurait trouvé la faille pour raisons médicales !
Si la faute n’était pas mienne dans l’erreur.
J’aurais vu ma mère une dernière fois, autre que dans son cercueil.
Mais avec un si on referait un monde.
Il y a des personnes qui n’ont pas besoin de si, car il dicte et ils font leur monde.
Peut-être sans foi ni loi, il y a que de la délinquance ! ?
Dans ce cas là !
Comme il y a le porte croit en pénitence.
Pourquoi étant adulte handicapé moteur à plus de 80 %, on ne m’a pas apporté de soins.
Alors pour moi les handicapés le jour où il rentre en prison ils n’ont plus aucun droit..
Sauf si on est un nom connu, comme la prison VIP!!
À la prison de borgo ça ressemble vraiment Club Med, du sens travaille doucement, a ce jour je pense fort que plusieurs surveillants pénitentiaires, qui sont venus à la prison de borgo en Corse, ils ne veulent plus partir, fût un temps il voulez fuir.
Depuis que je suis sorti de prison le 6 janvier 2023 je vais dans tous les sens pour me soigner.
Il y a plus de 20 ans le professeur qui m’a opéré à dit qu’il a eu une opération des plus complexes de sa vie.
Ce docteur professeur qui est connu à ce jour, n’exerce plus à l’hôpital de Bastia il exerce à Amiens.
Je suis toujours en Corse et j’espère trouver la solution pour me soigner.
S’il faut m’opérer à mon âge je ne sais pas, j’hésite vraiment.
Vu que l’opération est très délicate j’hésite vraiment sauf peut-être si je dois voir mon professeur.
On est au mois d’avril 2023 et normalement à la fin du mois, j’ai rendez-vous pour porter plainte.
J’espère savoir pourquoi on n’a pas voulu me soigner, j’espère vraiment aller au tribunal.
Comme l’espoir fait vivre j’espère toujours.
Si je n’arrive pas à savoir pourquoi on ne m’a pas soigné, pendant plus d’un an, ignorer comme une merde.
Je ne veux plus voler en association de malfaiteurs, le peuple français qui paye leurs impôts et j’arrêterai ma Cotorep !
Je remercie les prisonniers qui m’ont fait le ménage, qui m’ont fait des repas et qu’il était attentionné il me surveillait, et surveillait ma santé bien mieux que tout les surveillants réunis.
Jérôme je te remercie encore, pour avoir mis de l’ordre dans l’unité sept, c’était vraiment le bordel j’étais vraiment fatigué et à bout de nerfs, tu as su mettre de l’ordre et le calme.
Une pensée pour ces hommes le Roumain Georges, qui m’a affirmé que en prison en Roumanie il y avait un étage au rez-de-chaussée consacré au service médical et pour les handicapés.
du pays de là Hongrie Zsolt, Julien, les Marocains Nordine et les deux Aziz, Michel, Jean Antoine…
Vendredi 28 avril 2023, mon docteur a vu le résultat de mes radios, il m’a dit que je nécessite une intervention chirurgicale, et que si demain je ne faisais rien pour les broches et mon dos, si un jour j’ai un accident quelconque que le choc est assez violent je reste paralysé.
Je lui est montrer les photos que j’ai mis sur le site, les photos du résultat de mon scanner.
Je lui ai demandé s’il ne voyait pas que mon os était cassé sur une image.
Il m’a répondu ton os de la colonne vertébrale n’est pas cassé, il est explosé.
Voilà que ma double peine continue qui vivra verra !
À la date du 4 octobre 2023, je suis allé à l’hôpital à Marseille la Timone, le professeur Docteur m’a opéré de ma jambe droite au mollet où l’artère était bouchée sur 10 cm.
Quand je parlais au docteur de la prison que j’avais mal à ma jambe il me disait que c’était une sciatique.
Heureusement que le corps humain est bien fait et que deux vaines sur les côtés alimentent l’artère .
Dimanche 19 novembre je repars encore à Marseille à l’hôpital la Timone pour me faire opérer de l’aorte.
Et la prochaine étape sera de me faire opérer de mon dos.
Hier j’ai réussi à faire ma demande d’aide judiciaire, afin de porter plainte aux deux docteurs de la prison de Borgo, Je suis dégouté plus de 4 avocats non pas voulue me défendre trop dégouté !Fumer peut tuer mais la bêtise humaine aussi.
Depuis l’âge de quatorze ans,
je fume des cigarettes, de plus que le pétard.
À en croire personne que fumer peux tuer,
que ce soit les docteurs qui m’ont averti ou les amis et
les personnes de ma famille qui ne fumaient pas,
et aussi ces dernières années ou le paquet de cigarettes le dit ,
il est bien écrit fumer tuer sans paroles,
pour moi en m’a personne il parlait dans un moulin à vent.
Toutes ces personnes, j’aurais dû les écouter.
J’étais vraiment bête, de plus que imbécile, une bête sans la queue et la tête, moi qui est le syndrome de la queue de cheval. Lol
Je viens de rentrer de Marseille de l’hôpital la Timone,
ou ces monstres de la médecine avec le professeur Bartoli qui m’a opéré
deux fois en deux mois. La première fois il m’a opéré de ma jambe droite
ou l’artère était bouchée sur dix cm.
Et la deuxième fois de l’aort ou l’artère faisait cinquante millimètre de dilatation.
Et il me reste une troisième opération de mon dos.
En une semaine je suis de retour sur ma chère île de beauté.
En pleine forme avec un speed pas possible,
même que certaines personnes ont dit que je prenais de la cocaïne.
À ces personnes je tiens à leur dire , que si c’est la mode à ce jour,
croyez-moi je suis tombé tout petit comme Obélix dans la marmite,
elle est en moi la cocaïne, je n’en ai plus besoin. Lol
Oui je suis toujours en vie et je ne simule pas.
Vous avez compris la prison de Borgo où je suis sorti en janvier.
Ou certaines personnes monstres de la bêtise humaine ,
pensait que je simulais pour tous les mal j’avais en souffrance,
pour tous mes handicapes.
Vous comprenez, les monstres ,je ne pleurai pas pour sortir de prison,
je pleurais pour ma santé , en plus d’un an on ne m’a pas soigné .
Il y aura comme un jugement dernier au tribunal de Bastia.
On vient de m’accorder l’aide judiciaire.
Moi le pauvre Corse j’en suis content. Merci la France.
Car cette histoire de fou qui m’est arrivé. M’a traumatisé et retourner le cerveau,
déjà que je n’ai pas de cervelle lol
Et si je ne sais pas la raison pourquoi on ne m’a pas soigné, j’en serais vraiment malade, de plus que je le suis à ce jour.
Reconnu à plus de quatre vingt pour cent handicapé inaptes au travail, pour moi il me reste vingt pour cent de vie, et vous avez voulu ma mort.
Mais je suis toujours là et qui vivra verra.
Je suis dégouté plus de 4 avocats non pas voulue me défendre trop dégouté ! a ce jour de 2024 c es fini plus espoirs !
Yvan Barbaggi